Les réseaux sociaux font plus de mal aux fillettes

Snapchat, Instagram, Facebook… chez les jeunes, les effets délétères des plateformes sociales varieraient en fonction du sexe de l’utilisateur.

Plus les petites filles fréquentent les réseaux sociaux, plus elles seront malheureuses à l’adolescence, révèle notamment une étude britannique publiée par « BMC Public Health », une revue médicale en accès libre.

Un tel phénomène ne se vérifie en revanche pas chez les garçons, expliquent les universitaires qui ont mené une enquête sur quelque 10.000 enfants et ados de 2009 à 2015. Ils les ont interrogés sur leurs points forts et leurs difficultés, ils ont aussi défini un « indice de bonheur » en leur posant des questions sur leur famille, leur vie à l’école, à la maison.

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