Alors que le débat public s’anime une fois de plus autour de la question de
l’abaissement de l’âge du droit de vote à 16 ans, l’Association nationale des
conseils d’enfants et de jeunes (Anacej) souhaite rappeler une priorité essentielle : ce n’est pas l’âge qui peut seul garantir la participation des jeunes à la vie publique, mais les conditions d’effectivité de ce droit.
Catégorie : Vie Locale – Territoires
Temps scolaires : un passé qui ne passe pas sans être dépassé
La convention sur les temps scolaire sera-t-elle une véritable -énième- réflexion dans la perspective d’un changement ou une – énième – « bulle médiatique et politique » ? Pour l’historien Claude Lelièvre, le sujet est « une entreprise risquée » et complexe, il en rappelle quelques enjeux et épisodes.
Vote à 16 ans : parce que les jeunes ont une voix !
En mars 2026, les Français se rendront aux urnes pour élire leurs conseillers municipaux. Pourtant, une partie significative de la population risque d’être écartée de ce temps fort politique. Les jeunes de 16 et 17 ans n’ont toujours pas le droit de vote, alors même que la Convention internationale des droits de l’enfant leur reconnaît le droit de participer à la vie démocratique de leur pays.
À travers la nouvelle campagne « Vote à 16 ans aux élections municipales : parce que les jeunes ont une voix !»,l’UNICEF France et ses partenaires tels que le Réseau national des juniors associations (RNJA), Démocratie Ouverte, les Jeunes européens, Action éducation et bien d’autres, exhortent les pouvoirs publics à abaisser l’âge de vote à 16 ans pour les élections municipales.