Au-delà des politiques de droit commun qu’ils mènent et qui participent du pacte républicain, le ministère de la Culture et de la Communication et les fédérations d’Éducation populaire souhaitent amplifier leur action dans certains domaines d’intervention qui favoriseront encore davantage l’exercice de la citoyenneté et le vivre ensemble. Porteurs de valeurs essentielles à la démocratie, comme la liberté de création et la liberté d’expression, fervents défenseurs de la diversité culturelle, ils jouent également un rôle de passeur de ces valeurs, notamment auprès des jeunes générations.
Catégorie : Éducation – Prévention
La dynamique des droits de l’enfant
La Dynamique pour les Droits des enfants, c’est un ensemble d’organisations non gouvernementales (ONG), associations et collectifs, mobilisés pour porter collectivement, en direction des décideurs publics, des messages de plaidoyer pour une meilleure effectivité des droits de l’enfant en France et à l’international. Elle a également pour objectif de sensibiliser le grand public à ces enjeux de première importance. La Dynamique a été créée en 2019 (sous le nom Dynamique “De la Convention aux Actes !”), à l’occasion des 30 ans de l’adoption de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CIDE) par les Nations unies. Cet anniversaire était l’occasion, pour tous ses membres, de parler d’une seule voix en se mobilisant de manière collective à travers la Dynamique. Dans la continuité de l’année 2019, la Dynamique poursuit son engagement et ses efforts afin que ces messages de plaidoyer soient traduits en actions politiques concrètes en vue d’un meilleur respect des droits de l’enfant.
On apprend mieux en écrivant à la main plutôt que sur un clavier
Publiés dans le Journal of Experimental Child Psychology, ces travaux mettent en évidence les bénéfices de l’écriture manuscrite, à une période où le numérique s’impose de plus en plus dans les écoles. Pour mener leur recherche, les scientifiques ont enseigné à une cinquantaine d’enfants de 5 à 6 ans neuf lettres des alphabets géorgien et arménien (qu’ils ne maîtrisent donc absolument pas) et seize mots inventés avec ces lettres, en utilisant soit l’écriture manuelle, soit des claviers.